mercoledì 23 gennaio 2008

Sand Storm….

Tempesta di sabbia….

Eravamo verso la fine d’estate, ed il sole cominciava a scendere prima, l’oscurità prendeva sopravvento ogni giorno un po’ di più, un lento addormentarsi…
Mi trovavo in un deserto, all’orizzonte vedevo strane nebbie alzarsi il cielo dinnanzi a me stava cambiando colore….quasi rosa…
Mi bloccai in piedi, e come un tsunami la tempesta di sabbia di abbatté su di me, i miei occhi non vedevano più nulla, la sabbia mi stava facendo lacrimare gli occhi, si piangevo, sentivo i miei occhi pesanti, ma non riuscivo a chiuderli…. Lo feci con grande dolore….
La sabbia mi era dentro, la sentivo in ogni parte del mio corpo, non mi sarei sorpreso di trovarla anche dentro il mio corpo….fino al cuore sarebbe arrivata…
Restai in balia della tempesta, il vento mi faceva barcollare, sentivo il mio corpo cedere sotto la pressione….le mie gambe cedettero e mi ritrovai in ginocchio.
Le mie mani entrarono nella sabbia…e la strinsero a pugno chiuso
Non so quanto tempo passò, e come se il tempo si fosse fermato. poteva essere ore o giorni…
La tempesta stava passando il vento calava intensità….
Cercai di riaprire i miei occhi, ma la sabbia aveva lasciato dei segni evidenti, il dolore era grande…ed il mio corpo non reagiva….
Mi lasciai cadere a terra, stremato e dolorante, il sole stava spazzando la sabbia e con lei la bufera, con un occhio lo vidi il sole, era estate….


Tempête de sable....

C’était vers la fin d’été, le soleil commençait à descendre et déjà l’obscurité prenait le dessus chaque jour un peu plus, un lent endormissement.
Je me trouvais dans un désert, à l’horizon je voyais des étranges brouillards s’élever, le ciel devant moi changeait de couleur….presque rose…
Je m’immobilisait, mais comme un tsunami, la tempête de sable s’abattit sur moi, mes yeux ne voyaient plus rien et le sable les faisait larmoyer, je pleurais, mes yeux étaient lourds, je ne réussis à les fermer qu’à grande peine….
Le sable pénétrait en moi, je le sentais en chaque partie de mon corps, je ne me serais pas surpris de le trouver dans mon corps….jusqu’au cœur il est arrivé…
Je restai là, à la merci de cette tempête… le vent me fit chanceler, je sentis mon corps céder sous la pression … mes jambes cédèrent et je me retrouvai à genoux !
Mes mains entrèrent dans le sable… mes poings s’y refermèrent.
Je ne sais combien de temps se passa, c’était comme si le temps s’était arrêté, cela avait pu durer des heures ou des jours…
La tempête passa … le vent baissa d’intensité….
J’ouvris doucement les yeux … le sable avait laissé des signes évidents, la douleur était grande…et mon corps réagissait plus….
Je me laissais tomber par terre, épuisé et endolori … mais le soleil vint balayer le sable et avec lui la tourmente … d’un œil, je le vis le soleil, c’était été ….