domenica 4 novembre 2007

Il grande freddo , le grand froid


Ero arrivato da poco in cima, il vento cominciava a soffiare ed anche i miei capelli scompigliati se ne accorsero, davanti a mè ampie distese bianche si aprirono ai miei occhi.
Il mio corpo intirizzito , come in una specie di posizione fetale, cercava di non disperdere il calore in tanto freddo…i polpastrelli delle dita in un lento formicolio, mi annunciavano il disagio.
Che sia questo grande terreno arido, ma nel contempo splendido, quello che sento dentro di mè ? Non potei che sedermi un attimo ad ammirare la neve ed i suoi contorni, i suoni ovattati ed il bianco angelico della neve sul paesaggio.
Mi sedetti sopra uno spuntone di roccia che sorgeva dalle nevi, ad ascoltare il silenzio ed ad aspettare che il sole mi riscaldasse la pelle.
I miei pensieri riaffioravano , come in un lento disgelo , e mi chiedevo ancora una volta il perché di tante emozioni siano esse belle o brutte, le credevo estinte o per lo meno gestibili, controllabili. Il dragone si posò accanto a mè, ma non mostrava nessun segno di disagio, anzi sotto la sua grande bocca sembrava disegnarsi un sorriso, quasi diabolico…
Rimanemmo a guardarci l'uno l'altro per capire chi dei due avrebbe fatto la prima mossa, passarono le ore e i miei occhi sentivano la stanchezza posarsi come un mantello caldo….non mi sentivo in pericolo , mi addormentai.
Al mio risveglio, ( non so quanto possa aver dormito?) il dragone mi circondava con il suo corpo .
Mi stava riscaldando, ed io non capivo, ma come ? eravamo nemici pensai, ed invece mi sta facendo vivere con il suo calore…questo fu sufficiente a farmi sentire al sicuro, mi riaddormentai cullato dal suo corpo.
------------------------------------------------------------------------------------------------
Le grand froid


Il y avait peu de temps que j'étais arrivé en haut, le vent commençai de souffler et aussi mes cheveux ébouriffés ils ce sont aperçus, devant moi un vaste horizon blanc s’ouvrait ouverte devant mes yeux
Mon corps engourdi s’embrassait dans une sorte de position fœtale, cherchait de ne pas dispenser la chaleur entre tout ce froid....les bouts de mes doigts dans un lents fourmillement, m'annonçait un malaise.
Qu'est cet immense terrain aride, mais entre-temps splendide, ce que je sens dedans moi ?
J’ai du m'asseoir un moment pour admirer la neige et ses environs, les sons feutrés et le blanche angélique de la neige sur le paysage.
Je me suis assis sur une saillie de la roche dressée par la neige, et j’ai écouté le silence, en attendant que le soleil me réchauffe la peau.
Mes pensées remontaient en surface, comme dans un lent dégel, et je me demandais encore une fois le pourquoi d’autant d’émotions..... soit elles belles ou laides, je leur croyais éteintes ou quand même gérable, contrôlables.
Le dragon se posa auprès de moi, mais il n’était pas mal à l’aise, au contraire sur sa grande bouche il semblait se dessiner un sourire, presque diabolique...
Nous nous sommes regardés l'un à l'autre, pour comprendre qui ente les deux ferait le premier mouvement, des heures passèrent et mes yeux sentaient la fatigue se poser comme un manteau chaud... je ne me sentais pas en danger, me suis endormis.
À mon réveil, (combien de temps avais-je dormi ?) le dragon m'entourait avec son corps.
Il me réchauffait, et je ne comprenais pas, mais comment ? On était des ennemis je pensai, et toutefois il me faisait vivre avec sa chaleur... ceci fut suffisant à me faire sentir a l'aise, je me suis rendormis bercé par son corps.

Telemaco

2 commenti:

Unknown ha detto...

Vrai... parfois il nous faut que laisser les dragons venir prés de nous - et nous surpprendre ;)

Telemaco ha detto...

ehehe oui, parfois il faut !on va c'apercevoir de leur prèsence et donc on vas les connaitte ;))